Une nouvelle vague bleue. Ce n'est pas la première, ce n'est par la dernière. D'ailleurs, cette vague bleue avait été plus forte en 1992 et 1994. Du Figaro à l'époque on pouvait lire : "la bérézina départementale de la gauche" qui ne comptait alors que 2O départements métropolitains. La gauche en totalise 34 ; tous les espoirs sont permis pour une prochaine vague rose après celles de 2004 et de 2008.